A Maman
Au nord on devinait la mer,
Au sud c'était la verte colline
Et je me trouvais sur cette terre
Ou jadis vécu le Jeune Pline.
J'étais là, calme et paisible,
Comme ces pierres, là-bas, insensibles.
Et je revoyais ma Maman jouer
Avec cet enfant, qui devenu grand
A mal écrit cette poésie.
Cet enfant déjà si austère
Deviendra le deuxième père.
Cet enfant c'est moi
Et grâce à vous Maman.
Mais comme il se doit
Il faut vous remercier
Car vous m'avez éduqué
Sur le temps adolescent
Que vous n'avez pas connu.
Je vous remercie
C'est grâce à Vous
Que je pleure ici.
Adieu.
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