Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

Au marché

Ils appréciaent les rares moments qu'ils savouraient ensemble; le plaisir, la joie d'etre l 'un avc l'autre leur procurait des plaisirs niveau et augmenter leur amour; il avait besoin d'un peu de calme ne pensait a rien depuis la disparition de son oncle martinb. La veuille iol avait asisté aux obsèques; Il en était tout boulversé

Cette après midi là, la chaleur donnait l'impression que les con ges n'étaient pas trs loin. Ils se promenaient dans la vieille ville non loin de l'institut; après avoir debuter leur matinée en savourant un délicieux chocolat creme au fameux café littéraire Procope, lieu de rendez-vous des artistes et écrivains en vogues. Ils se résolurent à flaner par le marché,qui se tenait touts les samedi matin place de la cathédrale. Parmis les personnes attablée au café Procope il remarqua un individu au comprtement etrange qu arrivait juste tandis qu'ils se préparait à sortir sans un représentant qui a les dents qui glisse sur le parquet ou un de ses futil écrivain tout droit sorti de mai 1968 qui se prend pour Victor Hugo ou Baudelaire. Lhomme avait l'air inquiet cherchant du regard un espace pour s'asseoir. Cet homme il l'avait déjà rencontré très brieveemnt pensa t-il. A l'institut ? Ailleurs ? OU? Sans douite à l'entrerrement de son oncle mais l »émotion était tellement grande qu il ne preta aucune attention à la foule. Mais cette personne l'intrigué. En l'espace e quelques rapides moments son esprits enfouis ces remarques ; il portait attention sur sa compagne et sur les moments qu'ils souhaitant passés avec elle.K

Déjà en ce début de matinée, il y avait foule dans les rues piétonnes de la capitale les boutiqyes et magazins ouvraient les uns après les autres. Quand il était etidiant à l'institut justement et qu'il résidait à l'autre bout de l'archipel, il aimait arriver juste avant cette ouiverture, il aimait cette embiance là, c'c'enta pour lui comme une sorte de rituelle. Aujoud'hui, il le refaisait avec sa compagne. Ils se donnèrent amoureusement la mai, comme deux jeunes adolescents et se frayement un chemin parmi la foule des dense au fure et a mesure qu'ils approchaient de la place du marché.

Le parvis de la cathédrale etait traditionnels le lieu ou les fetes estivales battaient leur plein lorsque concert ou célébrations nationales s'emparaient du lieu;. Les bars café et autres restarants laissait la place aux etages des commerca nts et agriculteurs qui venaient vendre leur productions.les ménagerns s'affaires déjà, les cris des commerçants déchirées le brouhaha générale, les gamins courraint en slalomant entre les badaux, les achetrues, les commerçants. C'eatit cela l'esprit du site et ce depuis bien des années. Au detiours d'un petit groupe de personnes agées qui s'était arretr la afin de papautés, son regard croisa celui d'une femme agéeaux yeux sombres, vetus de noir. Il reconnaissait pourtant ce visage mais son esprit dene voulait pas rechercher dans ses souvenirs; la vielle dame semblait comme une intruse au sein de ce lieu bruyant, et commerca,nt.

- je suis heureuse de été revoir dit elle

Il resta un instant immobile, lacha la:main de sa compagne, regarda une nouvelle foid cette femme. Il savait maintenant qui c »ettait mais fit semblant de ne pas la reconnaître mais il du y rnnoncer

-vous n'avez pas changé dit il en reprenant la min de sa compagne qui sentait une certaine moiteur se dégagée de ses doigts. Déjà ils s's'éloigne de la vielle dame lorsque s soudain elle leur lança comme une une invective

-je leur dirai que je ne t'ia pas vu lança t'elle

Cette derniere phrase résonna dans son esprit déjà lma foule engloutissait la vielle femme les commercant haranguaient leurs clienst Elle lu rappela un timbre de la poste française; la Marianne de Gandon; Au loin, juste derrière un étale de fruit et de légume, le ragrd de l'homme qui les avait précédait au Café Procope les dévisageait.Rapidementg il sortit de sa veste un pistolet qu'il dirigea en direction du couple. Il voulu tirer mais au moment d'apputer sur la détente, une patrouille de la garde républicaine passa dans son champ de tir? Un ininstant le commercant le dévisagea lança un hé de stupéfaction mélanger d »hésitation. Rapidement il rengaina son arme et disparu dans la foule dense. Le commercant hocha la tet, regarda la patrouille de la garde tenta un appa=le mais déjà son espit fut attiré par deux jeunes femmes qui lui demanderent de pesait les juteiseuse oranges qu'elles venaient de choisir. L'homme oublia complètement la scene se consacrant entièrement à son commece et à ces clie,nte manifestement s jeuines qu respirait une cerat_ines jeunnness

-tu connais cette dame, lui demanda sa compagne

Quan j' »étais gamin, elle venait souvent voir mon oncle. Pour quelle raison je n'en soiutr rien, maois elle était toujours là pour les grandes occasions. J'ai toujours pensé que c'était une collaboratrice de mon oncle, sans doute la plus ancienne lorsqu'il à repris l'activité contruction du groupe, arma t-il.

L'homme qui tentait de les visait venit de s'approcher du couple malgré la densité de la foule. Il sourtit de nouveau son armesans s'occupe des gens des enfants qui l croisait;

-maman, regarde le monsieur il a un pistolet;

Les mots du gamins attirernt l'attention des gens, bien tout les regards le dévisager; l'homme se sentit agresseé, rangea son arme bousoula un passant et s'endfui en courant. Déjà la patrouille de la garde civil avait été amrté. Il ragda lesa sureté public en action, sairra fortement la main de sa compagne et dit

-encore un qui a volé des fruits



21/11/2009
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