Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

Le deces apparent de son oncle

Le bureau etait complètement en desordre

On aurait dit qu'il avait subi une fouille en regle

Quel spectacle affligeant quand il se rendit à l'appartement, les enquêteurs de la garde civil républicaine était encore là

Le coprs de son oncle était couvert par une sorte de drap blanc frappée des insignes de la garde le bureau était en desorde il fut accueilli par sa tante, en pleure qui le sera fortement des larmes venaient ternir son regard profonds elle se sentait désespéré, vulnérable il essaya quelque mot de réconfort mais qui allait le rconforter lui? Il tenta de s'asseoir lorsqu'un homme en unifomz vint à sa rencontre sans un mot il lui désigna un autre individu en civil celui la, son index pointer en sa direction. Son attitde, ses gestes méticuleux autour du cadavre alors que les autres personnes s'afféreraitent lui conférer une rais=deur, une froideur telle que l'on peut en avoir dau sein de mla garde républicaine; Beaucoup d'images tournoyaient dans son esprits il ne savait pas trop ou il etait, un peu hagard il espérait du récomfort, il souhaitait même refaire marche arrière dans le temps et ce bureau, ces livres de collections, cette bibliothèque que son poncle venait d'arquer à poris d'ou, toute ces collections qui faisait la fierté de son oncle

Mais un détail le perturba, presque insinifiant tendis que la personne se dirigeait vers lui au mas militaire.Les présentations furent breves Il n'eu même pas le temps de poser des questions;

-Lieutenant colonel Sastre dit il aussi raide que l'été sa poigné de amin. Le petit détail de tout à l »heure le perturbait de plus en plus.

-les emlemeents dee la première constatuation de l »enquête font conclure à un suicide par l'abostion de barbiturique

Mainteanat il n'y avait plus de doute ce n'étaient pas des livres anciens de la bibliothèque qui jonchaieit le sol du bureau mais bien des albums, des classeur de timbres; cette constations fit rapidement le tour de ses pensées tandis que le militaire poursuivait méthodique dans ses énumérations.

- rien n'a été volé en apparence. Des l'abortion des produits il aura trébuché sur sa bibliothèque, s s era cogné la tete contre le bureau et dans sa chute aura entraîné ses livres.

-Et ma tante ? Osa t-il répo,ne d'une voie accaparé par cette tragique dispariotion

La froideur militaire et le son grave de la voie de l'l'enquête ne le dérangeait plus

-Votre tante s'est absenté à sa permamnece associative. Votre oncle n( a laissé aucun écrit il a semblé, pris de panique il a même pris son revolver et après une derniere crise à tiré une balle qui s'est logé dans la bibliothèque les conbstatiuons du légiste et de la balistqisue sont en cours;

- ou etcetera vous ce jours vers 16h 216h30 ? L'enquetrur allait droit au but. La question fusa, imparable, seche sans aucune humanité

- a blinstitut répondit il le service administratif vous donnera toiut les détails poursuit il.

-Merci conclu sèchement le militaire. Il fut une nouvelle fois étonné par tant de dureteé dans l'expression. Mais son esprit semblait reprend=re le dessus

- des timbres cria t-il, se sont des timbres. Les policiers le regardaient avec une certaines surprises sans doute teinté de comph étions qu de plus naturel que dans des circonstances la famille délire dans ses propos. Déjà les personnels des services médicaux emmener le cors? Une femme sans doute le medeicoin réconfortait sa tante qui s'était assisse dans le confortable soffa du bureau.

Il cria plus fort

Ce sont des timbres des blocs feuillet se sont les collections philatéliques de mon oncle le militaire le devinable l'air stupéfait

Le bureau de son oncle était en fait une immense pice qui donnait siur l'avenue Elle possédait l'avantage d'avoir une large ouverture sur la terrsasse qui semblait dominer cette avenue Se fut dans cette poise au forma rectangulaire que jasis son oncle décida d'y deposer ses archives, ses livres, ses bibelots, ses documemyts professionnels ainsi que ses différentes collections philatéliques. Juste après le deces de sa tante eva, il semblait vouloir titrer u trait sur le p asséTout ces moments vécus à la Chataignerazie, la propriété qu'il possédait dans les faubourg luxueux de la capitale Apparemment son oncle martin avait su reconstituer dans cette pièces tout son univers de la chataignerais Il le savait car il avait toujours vécu aupres de lui, après la disparition tragique de ses paren-ts. Rien ne semblait y ma&manquant, bibeloteur remplies de livres, une de ses autres passions, tableaus de Magrit, photographie de lui posant avec un sourir intense avec le président f de l'assemblée nationale Républicaine Et des papiers dédirés qui jonchaient le sol n'etaient en fait que des timbres Ces vignettes postales que son oncle avait patiemment aligné, les enquêteurs qui les prenait pour du papier déchirer

Sa tante venait de reprendre ce qui lu restait malgré s tout comme force après cette tragédie il la consola de nouveau malgres les allées et venues des enquêteurs c dans le spacieux appartement Qu'allaitils faire quallait ils devenir cette situation lu semblait déjà connue comme si son histoire se repetait mais il ne pouvait croire au suicide de son oncle ni d'ailleurs à un acces de folie Ses affaires etaient propsrees que s'était il donc passée Pourqoi depeché un gradé de la garde civile ?

A Neux York plus de deux mille victimes venaioe t de mourir sous les assoauyt de deux avins de lignes au même instant la personne qu'il affectionnait le plus au mode venait aussi de tombé, abattu selon lui par des laches , es meurtriers, sans dourte des fanatiques. Mais quelles causes défendait ils? Cela justie ftil ces assassina, cela justie t-il la mort .?



21/11/2009
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