Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

On lui tire dessus

Il sortit de l'interminablke réunion assez dépité parce qu'il venait d'entendre une nouvelle foid encore il faisait figure d'eception ne suivant en cela pas la ligne de conduite qui etait celle de l'institut iol le savait il n'n'eau pas coulé dans le moule déjà formaté que mla socié&t souhaité il se voulait au dessus des querlles, des pefidies il se voulait au dessus de tout cela il se rappelait les remarques du générale de gaulel qui se voulait lui aussi un dessus des partis politiques mais l »heure n'n'enta pas à la politique mais de choius stratégiques et financiers; iul savait pourtant qu'il avait raison mais ne savait pas l'exproimer, ni l'epliquer; pourquoi son oncle n'eatait plus là io ouvrit la portiere fe son vheicule et tout en demarant alluma l'autorradio il voulait se détendre auprès cette réunion houleuse il appuya sur la touche cd.son onclke qui avait pris une aprt a=u capital de l'institut l'avait choisi pour le reprensenté en cas de force majeur . Sa disparition était une force majeuyre

-tiens dit il le dossier de mon oncle est encore sur la banquette arrière. Il attendra lui aussi pensa t-il forttement. Le dossier venait le de le rappeler qu'il avait rendez-vous chez lz notaire pour la succession de son oncle dans l'l'apr. midi;

Déjà la bruyante music de hard rock remplissait la luxueuse bertilen de marque américaine il adorait ce genre musicale surtout lorsque les les chœurs ressemblait à des complaintes de cha,nt grégoriens. Il démarra en trombe, regarda ai=u passage la charmante silhouette d'une jeune femme qui venait de traversait la rue il eut le temps de deviner sous sa jupe courte et transparente les forme sde sons sous vetementsq Deja la silhouette s »éloigner dans le rétroviseur l'autoradio crachait des bruits de metal hurlant il aiait cela surtout lorsqu'il etait saturé, lorsqu'il en avait assez, lorsque la journée lu semblait incontrôlable Ila lourde berline déboucha au feu de la large avenue il ventôse de passer au raouge et déjà quelques passants s'appretter à ,traverser;

La deflagation fut d'une telle intensité qu'elle imobilisa bon nombre de passants après quelques interminables secondes couvertes par un silence mares les bruits de la ville, il y eu un silence pessant il y eut une panique des gens des passants couranit dans tout les sens autour de la berline il y eu une panique generalis&é

Il passa machinalement la main sur son visage elle était e, sensualité la vitre coté passager de son véhicule venait d »terre brié par l'impacte de quelque chose, d'une balle il se rappela le feu passant au rouge, de la foule qui se dépêchait de rtraverser , de cette belle sihouteet dan son retroussements débris de verre remplissait l'habitacle les secours arrivait déjà sur les lieuxon avait voulu lui tire dessus et par quel miracle etait il encore vivant ?



21/11/2009
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