Provisoire du 18/05/09
La violence le terrasse:
Il n'espère pas la mort
Mais se console du sort
Tragique qui le menace.
Plus jamais il ne prie
Mais la terreur le suit
Car il n'espère plus rien:
La mort c'est son seul bien.
La jeunesse de son âme
Vient d'éteindre sa flamme,
Le doigt sur le fusil
La détente le poursuit.
Adieu
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