Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

Provisoire du 18/05/09


La violence le terrasse:

Il n'espère pas la mort

Mais se console du sort

Tragique qui le menace.


Plus jamais il ne prie

Mais la terreur le suit

Car il n'espère plus rien:

La mort c'est son seul bien.


La jeunesse de son âme

Vient d'éteindre sa flamme,

Le doigt sur le fusil

La détente le poursuit.

Adieu



09/01/2010
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