Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

Retour à l'appartement

Le bâtiment de la garde républicaine se situait dans la vieille ville un briment aux lignes droites, rigides dont les grandes fenêtres sombres alourdissaient encore la forme du bâtiment au dessus de l’immense oiuverture qui donnait dans une salle d’attente ou s’affairaient des gens en uniformes, le nom de garde civile républicaine donnait un aspect encore plus froid àl’edifice durant les evenement qui ont conduit à la poclamation de la république le 20 octobre 1966, le bâtiment abrita les oppoasntqs à l’indépendance, ils s’y retrancherent durant plus d’une dizaine de jours. Lassault fut donnée par les forces spéciales de sécurité assisté par l’armée fra niaise. Par souci de transparence cet épisode de l’histoitre de la République était connu de ftos avait fait l’objet de débats, de films, de commentaires d’d’annal sur les causes, les conditions voir même la responsabilités des forces françaises.

Il fut convoqué a venir faire sa depsoition dans l’affaire du suposé suicide de son oncle. Il fut recu pat le lieutenant colonel avec toute la régur d’usage qui dirigeait l’nequete d’d’apr. les différentes constatations, son oncle s’était bien suicidé mais lui il ne voulait pas le croire après avoir obtenu l’autorisation de retourner à l’appartement, il savait quil allait faire d’autres découvertes il ne croyait pas à cette stupide these officielle et voulait en trouver des preuves. Il ne savait pas comment mais il ferait tout son possible pour le découvrirr. Pour l’heure, les équipes d’investignation terminait leur taches. Sur le lieu du désastre. D’un commun accord avec sa tante il souhaita revenir avec elle sur le lieu du drame très emue et manifestement très secoué par la disparition de son compagnon, sa tante ne lui tint =qu’un bref momment compagnie. Visiblement elle était bien bouleverser.

- j’ai trop peur dit elle d’une voie très appeurée

-Je te comprend. Mais ou souhaite tu aller pour le moment lui répondit il.

Il la regarda fixement; son regard tentait de pénétrait ses yeux claires, presque bleuté mais assomblie par une forte émontion m is elle le fuyait, elle se sentait aussi mal à l’aise une drole se sensation venait de l’etreindre elle ne souhaitait pas rester plus longtemps dans ces lieux elle l’embrassa tendrement sur sa joue. Puis elle partit

-je retourne à Malmaison pour un temps

On aurait dit comme un adieu comme si elle était pressé d’en finir, comme si elle voulait tourner la page de lhistoire de sa vie

- mais avant je dois aller faire ma déposition fit elle

La porte s’ouvrit pui sse referma délicatement elle venait de partir elle venait de le laisser, tout seul, dans cet appartement ou quelques jours plus tôt son oncle Martin avait trouver la mort mais son esprit était déjà alliurs Décu de la voir partir, il se remémora ou plutôt s’imagina la scene, les quelques derniers instant de vie de son oncle. Non pas cela pas de suicide;

Les petits moceaux de papiers qui jonchait le sol s’s’articula autour du vieux bureau de style napoléonnien Les équipes d’investigation ne s’en sont visiblement pas préocupé. A y regardait de plus prêt ce n’n’enta pas du papier déchiré Il sentit que cette enquête policiere comprtait une faille volontaire ou non mais pourquoi ces détails avait ils echappéer à leur vigilance ? N’avaitent il spas porter aucun interet ? Les enquêteurs se strompait, il en était convaicun

En en ramassant quelques un il savait que c’atait bien des timbres postes. Il inspecta leur faciale, leur aspect generalOiu ces petits bout de papaiers etaint bien des timbres postes Avec une précision chirurgical,, et très délicatement il ouvrit le tiroir gauche du bureau Il savait que on oncle y déposait sa malette d’expetise philathélique odontomètre digital, llampe fluorescente, lopue, pince brucelle la malette en question avit l’air plutôt ou ressemblait plutôt à des instruments de chirurgie q’à du materil de philathélie. En d’autr temps, en d’autres circonstance il n’aurarait jamis commis se sacrilège: fouiller dans le tiroir du bureau. Mais il était sur que son oncle le comprendrait il était même persuadait de sa présence à ses oté. C’était un senbtiment bien etrange que e lui la. Savoir qu’une personne n’est plus la mais en même temps ressentir sa présence; avec la prescison et la délicatesse du verrier, il ramassa tout les timbres à la pince bruxellois jonchait au sol. Certains avaient eté froissa par les immonbrables pas des équeteurs ais cela ne faisait rien; Il les aligna sur la table du salon. Déjà aou dehors les rayon du soleil ne rentrait plus, n’avait plus la puissance de pénétrer par les immenses baies vitrées Il rechercher des a pensent le trait commun à toutes ses vignetes comme si son esprit voulut occulter ces moments douloureux qu’il était en trait de vivre comme si il voulut se replonger dans les moment d’intimité qu’il partager avec son oncle quant un p=eu plus jeune il lui avait appri les bases de la collection philathélique.Il repartit dans la bibliothèque du bureau et il fit vite un constat qui le troubla: l’album Allemagne avit disparu. Il savait que dans ce recueil son oncle consigner toute la philathélie du traoisieme reich d’d’a ses souvenir il etait en passe de terminer ses recherches puise il avait obtenu quasiment toute les picesCar il s’agissait bien des timbres allmenand qui etit sur la tazblepourqoi ont t-il spres cet album etait ce ls enquêteurs , fort peu probable , quelqu’un autres peut etre ceux la même qui ont pris la vie de son oncle fotr problable mais comment le propouvber commer faire le lien ou b bien cet album n’avait plus aucun interet pour Martin A proscritre totalement La valeur des pices contenu dans ce recueil, c’est a dire sa cote semblait en hause dépuis que son oncle lui avait annoncer au detriour d’un banal convesation qu’il devrait acquérir la piece unique celle qui ferait que sa collection soit complete : le bloc allemand émis à loccasion du 9éme congres du parti national socialiste à Nuremberg

Néanmoins il etit bien difficile d’d’écoule sur le marché une telle collection sans en alerter les autorités ni lies milieu philathéque Il essayat de se remeorer les disciussion de son oncle quelle piece avait disparu avec le l’ablum? Son oncle ne s’était pas fait assassiné pour cela comment pouvait uil débuter sa propre enquête fallait il mettre au courant les enquêteurs et notamment ce lieuteenant colo,nel qui lui etait vraiment antipathique Ces indices, ces allégations étaient ils vraiment fonder. Il fut étonné par un etarange sentimenyt qui venait de l’envahir Il ne faisait désormais confinace personne Meme pas à sa tante pour le moment il se remis à contempler les timbres qu’il venait d’aligner avec une précision militaire sur la table.; le troisième reich et ses atrocité des timbres à la gloire d’un dictateurs plus diabolique plus fou de l’histoire du Xxieme siecle voire même de l’histoire de l’humainté.

Ces portraits de Hitler se succèdent avec des valeurs faciales et des couleurs différentes .Cela le mis vraiment mal a l’aise au dehors le soleil venait de faire place à un ciel d’été limpide, rosé sans nuage comme sur une carte postale

 



21/11/2009
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