Mes Reveries Poètiques

Mes Reveries Poètiques

Septembre

Il soufflait comme un leger vent de conges, de vacances. Les températures de ce moi de septembre était tout à fait estivales et il souhait profiter de cette journée pour s'évade de l'institut., des cours, des recherches, de ses collègues. Il voulait s'isoler , ne plus penser à rien. Prendre le temps mais la réalité le rattrapait déjà. Il devait faire ses cours et exposer le résultats de ses recherches devant ses étudiants. Il devait même noter certains.

L'institut de recherches en sciences humaines, que tout le monde surnommer le paquebot, était à l'origine dans le bâtiment militaire. Situé en plein centrée la vielle ville, il devient à la proclamation de la République à la fin des années soixante une annexe du conseil communal.

Le premier exposé qu'il entendit lui démontrât la hautes qualité des recherches entreprises par ses étudiants.

Depuis le dut du mois il avait résolu de faire le point avec ses étudiant?Depuis plus d'une dizaine de jours il avait déjà commence à établir ses corrigés. Machinalement; il regarda la montre que sa compagne lui offrit pour le premier anniversaire de leur rencontre. Le temps semblait s'arrêta. Septembre, 15h34. L'espace d'un bref moment il ressenti comme unetelle, un sentiment de mal être, comme si sa gorge, ses muscle se nouaient. L'espace d'un instant il pensa à son oncle. IL avait oublié de rapportait les documents. Il eut un bref renard, tendis que l'étudiant le fixait. Il dut vite(e reprendre le fils de fils de l'exposé de son étudiant Il devait gardait son esprit libre de tout parasite extérieur.

Soudain, alors que la voie de la jeune étudiante recommençait à résonnait dans son esprit, la porte de la salle d'étude s'ouvrit violemment. Son assistant était comme terrifié, comme pétrifié. Il resta de logues secondes sur le pas de cette porte sans bouger. Il n'osa faire aucun mouvements yeux cherchaient le regard du jeune professeur.

-David ! Lança t-il Q>que vous arrive t-il donc ?

-un avion vient de s'écrase sur une tour du World Trade center

-que dites vous ? Hurla t-il

Il y eu un log silence, Il y eut comme un parasite, comme un bruit bizarre qui venait d'envahir tout son être ainsi que la salle de cours. Au dehors les bruits de la circulation d'habitude si audibles malgré le doubles vitrage de l'institut semblaient s'arrêta. Tel un automate il balaya du ragrd la salle de cours. Tout l'assistance semblait abasourdi par cette nouvelle ainsi que par cette drôle d'intrusion en salle de cours.

-venez voir sur CNN les images cria l'assistant. En une fraction de seconde la dizaine de personne qui occupait la salle se retrouva face à l'écran plasma suspens=du dans le salle des travaux dirigées. Une vision d'horreur. Un apocalypse. Un avion commercial de ligne venait de s'encoffra dans une des tours jumelles.

Mon dieu que se passe t-il cria une étudiante

La vision de terreur continuait. L'édifice était déjà en flamme, des gens agitait leur bras, appelait des secours.

Que fallait il faire pour les sauver, qui pouvait les aider ,Tout le monde avait le regard fixé sur l'écran ils se rendaient bien compte que des innocents mourrait , étaient en trait de mourir sur le regard des caméra sous leur propres regards, leur propres yeux.

11 septembre. Il se revit l'instant d'avant regardant le cadran électronique des sa montre. Il s'entendait prononçait cette date; A ce moment l'horreur augmenta encore 'intensité.. Sous leurs yeux médusés, atterré, une vision de terreur et d'effroi venait de surgir. Ils virent en direct, un second avion civil percutait la deuxième tour: l'horreur absolue. Malgré les images insoutenables, les commentaires semblaient aux antipodes de ce que le petit groupe percevait sur cet écran l'horreur absolue, des dizaine de victimes, voire des milliers, les passants, les voitures, les gens les enfants, des blesses, des morts… Que se passait cil le monde venait il de disparaître sous l'armagedon Les images restaient et le restent encore affreuses. Une autre étudiante porta ses mains à son visage et sanglota Une autre se mit à réciter le Pater Noster. Notre Père qui entres aux Cieux… L'assistant du jeune professeur s'appliquait devant ses claviers pour recevoir un maximum d' information. Un autre étudiant laissa tombait ses lunettes pris par la panique et l'affolement de ces terribles images.

Devant l'insoutenable il garda son calme. Curieusement. Il fit asseoir son groupe étudiants qui ne décollaient plus les regard de l'l'encore écran plasma. Il sentit la stupeur et l'incompréhension qui ravageait ces jeunes gens. Le monde venait sans doute de basculer. Son téléphone portable sonna. La mélodie qui reprenait la Sarabande, un de ces morceaux favori vint encore durcir cette atmosphère de terreur. Après avoir décrocher pour prendre la ligne, ses yeux restèrent toujours clouer sur les images des deux tours qui a présent venait de s'effondrait. Leur effondrement accompagna la chute de l'appareil de téléphonie. Il venait de le lâcher. Il venait d'être anéanti par cet appel. Lorsque la première tour s'effondra, son portable s'écrasa quasiment ai même moment sur le parquet de l'immense salle de cours.

Un cours instant sa respiration venait de s'arrêta devant les images insoutenables que lui renvoyer cet écran plasma. Son oncle, son oncle Martin venait de mourir. C'était sa tante; Elle lui disait qu'il n'était plus la Que la police avait conclu provisoirement à un suicide Les malheureux qui étaient en train de mourir sous ses yeux tous ces gens, ces tours en feu qui s'effrondaitent, les passagers de ses avions , les équipages, son oncle Tout ceci se mélangeait dans sa tête.
Dans cette immense salle de cours le temps venait de s'arrêter.



21/11/2009
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