Chapitre 13: Rêves réalistes
En me prenant par la main
Je me suis laissé emporté
Comme un nouveau né.
Je n'avais ni faim,
Ni soif, encore fallait-il
Engloutir tout mon chagrin
Mais en vain !
Me voilà sur le chemin
Que je connaissais d'ailleurs...
Arrivé à proximité
De quelque chose d'inconnu,
Que je n'avias jamais
Vu auparavant,
Je me suis assis,
Ou plutôt on me fit assoir
Ce "On", je ne le connais pas,
Même pas.
Puis j'ai attendu...
Tellement attendu
Que j'ai fondu.
L'orage était passée.
C'est l'heure !
Je suis heureux de partir
Je n'aurai aucun souvenir
De ces quelques mois passés
En Britanie dans mon lycée
Je vais retrouver mes amis,
Ceux que je connaissais
Depuis tout petit
Je suis trés heureus de m'en aller !
Bientôt c'est le départ
Bientôt je vais revoir
Tout mes meilleurs copains
Tous ceux de mon lycée
Ceux que j'aime et enfin
Celle que je vais aimé....
Féijo, ce 1er février 1984
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